Coups de coeur
Quel vibrant paradoxe ! Ces montres intemporelles qui incarnent la quintessence de la virilité horlogère, se retrouvent parfois lovées aux poignets des femmes… De certaines femmes. De celles qui adoptent les codes stylistiques masculins avec élégance. Les must have : alliances de l’acier et d’un cadran deep blue, elles s'approprient toutes les silhouettes.
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Née dans les années 70, elle a acquis le statut d’icône sport-chic. Ses courbes rappellent les télés aux coins arrondis des seventies. La Nautilus s’habille d’acier à une époque où une montre de luxe ne se conçoit qu’en or. Elle est aussi à l’aise lors d’une party sur la plage à Sanary que dans un salon mondain, Boulevard St Germain.
Cette manufacture de haute horlogerie est habituée aux pièces très sophistiquées. Relookée en 2016, son Overseas plus sportive, arbore une lunette en forme de croix de Malte, emblème maison. Elle est adepte du Polo autant que de la coupe de champ’. Elégante et discrète, elle habille un bustier Vivienne Westwood aussi bien qu’un costume Hedi Slimane.
Née en 1945, elle adopte le boîtier Oyster (huître) cher à la marque à la couronne. Il lui permet de résister à l’humidité comme à la poussière. Cette Datejust en Rolesor affiche la date dans un guichet à 3 heures. Pratique ! Ses formes raffinées et suaves en font une aventurière douce et féminine, aussi à l’aise en bikini, sur le pont d’un trois mats qu’en combi sur les pentes du Jura.
Elle apparaît en 1972 et va révolutionner le secteur. L’illustre Gérald Genta à qui l’on doit son dessin, choisit de laisser apparentes ses vis de fixation, comme le musée Beaubourg laisse visible sa tuyauterie. La Royal Oak est l’une des premières à opter pour un bracelet intégré qui fait corps avec son boîtier. Elle se sent aussi bien au poignet de Constance que d’Amédée.
C’est l’une des premières montres bracelet de l’histoire. Elle est imaginée en 1904, par l’horloger parisien pour le célèbre pionnier de l’aviation Alberto Santos-Dumont. Accrochée à son poignet, elle permet au pilote de regarder l’heure sans avoir à faire de grands gestes. Inspirées de l’art déco, ses formes sont assez douces pour séduire aussi les femmes.
Née en 1945, elle adopte le boîtier Oyster (huître) cher à la marque à la couronne. Il lui permet de résister à l’humidité comme à la poussière. Cette Datejust en Rolesor affiche la date dans un guichet à 3 heures. Pratique ! Ses formes raffinées et suaves en font une aventurière douce et féminine, aussi à l’aise en bikini, sur le pont d’un trois mats qu’en combi sur les pentes du Jura.
Née dans les années 70, elle a acquis le statut d’icône sport-chic. Ses courbes rappellent les télés aux coins arrondis des seventies. La Nautilus s’habille d’acier à une époque où une montre de luxe ne se conçoit qu’en or. Elle est aussi à l’aise lors d’une party sur la plage à Sanary que dans un salon mondain, Boulevard St Germain.
Elle apparaît en 1972 et va révolutionner le secteur. L’illustre Gérald Genta à qui l’on doit son dessin, choisit de laisser apparentes ses vis de fixation, comme le musée Beaubourg laisse visible sa tuyauterie. La Royal Oak est l’une des premières à opter pour un bracelet intégré qui fait corps avec son boîtier. Elle se sent aussi bien au poignet de Constance que d’Amédée.
Cette manufacture de haute horlogerie est habituée aux pièces très sophistiquées. Relookée en 2016, son Overseas plus sportive, arbore une lunette en forme de croix de Malte, emblème maison. Elle est adepte du Polo autant que de la coupe de champ’. Elégante et discrète, elle habille un bustier Vivienne Westwood aussi bien qu’un costume Hedi Slimane.
C’est l’une des premières montres bracelet de l’histoire. Elle est imaginée en 1904, par l’horloger parisien pour le célèbre pionnier de l’aviation Alberto Santos-Dumont. Accrochée à son poignet, elle permet au pilote de regarder l’heure sans avoir à faire de grands gestes. Inspirées de l’art déco, ses formes sont assez douces pour séduire aussi les femmes.
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